Marie POUILLAUDE
Dessins extraient du livre « Chastel-Arnaud Trois Becs, deux ailes et un ruisseau…. »
Marie Pouillaude est une artiste à plusieurs casquettes.
Elle est conteuse et illustratrice.
Elle vit dans le Diois depuis sept ans.
Elle a d’abord été professeur d’histoire puis, peu à peu, elle a rencontré des artistes avec qui elle a pu travailler et elle a changé d’orientation.
« Je regarde, je construis des petits spectacles, dit-elle, je fais des collages, j’illustre des livres, je fais des images avec des papiers découpés…C’est un besoin, une respiration, je ne peux me passer de mes papiers , de mes crayons et de la peinture pour concrétiser mon bonheur à vivre ….
Rêvez avec Quentin Calmel.
Il est des hommes qu’il fait bon rencontrer car il vous propose du bonheur. C’est le cas avec Quentin Calmel, dessinateur de B.D. que vous aurez peut-être l’occasion de rencontrer sur un marché d’artistes-créateurs de la région. Surtout, approchez-vous, vous ne le regretterez pas.
Quentin Calmel, magicien du dessin.
Vous le verrez peut-être sur les marchés de la région. N’hésitez surtout pas à vous approcher pour apprécier ses réalisations et à entamer le dialogue. C’est l’assurance de passer un pur moment de bonheur et de rêve en vous laissant emporter dans un tourbillon d’aventures.
Car, outre les tableaux et les cartes postales qu’il vous propose ou qu’il peut prendre en commande, Quentin est avant tout un dessinateur de BD.
Sa mère avait tout compris depuis longtemps puisqu’elle disait de lui : « Il est né avec un crayon dans la main. » Pourtant, si le don naturel est là dès son enfance son parcours n’a pourtant pas été un long fleuve tranquille.
La ville de Crest et ses alentours sont au centre de son engagement. Originaire de La-Roche-sur-Grâne, il se retrouve sur les bancs du collège Revesz-Long. Il connaîtra lycée Camille-Vernet (option Arts), à Valence une courte année scolaire avant de revenir à Crest où il passera un baccalauréat littéraire général au lycée Armorin.
Il fait ses valises pour Saint-Étienne où il passe en 2014 une licence d’Arts plastiques à l’université Jean-Monnet. La formation concernant l’approche théorique est très satisfaisante mais il manque à Quentin l’aspect pratique.
Il écoute alors un copain lui évoquer l’École supérieure des arts (ESA Saint-Luc) à Bruxelles où est proposée une option « Bande dessinée. » C’est un nouveau départ mais les assises sont faibles. Il ne peut compter mensuellement que sur une toute petite aide financière de 400 €. Autrement dit : il va falloir serrer les dents. Mais la passion est une précieuse alliée qui permet d’encaisser beaucoup d’épreuves (Charles Aznavour nous a merveilleusement bien chanté ce phénomène avec « La bohème »). Lire la suite….